Letter from a friend: L'archevêque Viganò demande aux gardes
L'archevêque Viganò demande aux gardes suisses d'arrêter le pape François et le cardinal Fernandez responsable du livre pornographique
L'archevêque Viganò a écrit sur X : "Les régurgitations d'égouts blasphématoires du pamphlet répugnant de Tucho montrent un tel niveau de perversion et d'aliénation de la Foi qu'elles exigent l'expulsion manu militari de l'Argentin et de ses complices. Les gardes suisses ont juré de défendre le Siège de Pierre, pas celui qui le démolit systématiquement. Qu'ils soient donc fidèles à leur serment et qu'ils arrêtent ces pervers hérétiques !".
La déclaration du dénonciateur du Vatican fait suite à la publication de la nouvelle selon laquelle le cardinal Fernandez, considéré comme l'auteur de la scandaleuse Fiducia Supplicans et d'au moins certaines parties du controversé Amoris Laetitia, avait publié un ouvrage de théologie sexuellement explicite en 1998. L'ouvrage, intitulé The Mystical Passion : Spiritualité et sensualité, compare les expériences mystiques aux réponses sexuelles masculines et féminines.
Je le répète : nous devons reconnaître qu'un processus révolutionnaire est en cours depuis plus d'un siècle ; un processus planifié qui s'est ensuite matérialisé avec l'action subversive des néomodernistes au Concile et avec leur prise de pouvoir tout au long de la période postconciliaire ; un processus auquel tous les papes, de Jean XXIII à Benoît XVI, ont pris une part active. Si nous sommes arrivés au culte de la Pachamama, c'est parce que nous sommes passés par Assise ; si la Déclaration d'Abu Dhabi a été signée et voulue par le Saint-Siège, c'est parce que nous avons d'abord toléré Nostra Ætate et Dignitatis Humanæ ; si nous en sommes venus à entendre théoriser les diaconesses, c'est parce que nous avons souffert en silence l'introduction des " ministres extraordinaires de l'Eucharistie " et des enfants de chœur. Et - disons-le ! - si aujourd'hui le Vatican est réduit à un bordel, c'est parce que depuis Paul VI on n'a pas voulu étouffer dans l'œuf la mafia de la lavande qui était enkystée au Vatican, préférant favoriser ceux qui, plus faciles à faire chanter, donnaient de plus grandes garanties d'obéissance.
La façon dont l'Église profonde a agi pour infiltrer l'Église catholique est une image miroir de ce que l'État profond a suivi pour prendre le contrôle des gouvernements civils, comme nous le montre l'actualité récente. L'égout d'où est sorti le pamphlet infâme du préfet de l'ancien Saint-Office est le même que celui d'où sortent les scandales des personnages mentionnés dans la liste d'Epstein. Nous avons besoin d'un retour radical au Dieu de la race humaine, à travers une purification de la société civile et du corps ecclésial. Nous devons nous opposer à cette attaque par une action collective, afin que la papauté redevienne un phare de vérité et un port de salut, et non le mégaphone de la synarchie antéchristique du Forum économique mondial.
L'archevêque Viganò a toujours été une voix puissante qui s'est opposée à François le Rouge et à l'État profond (et à l'Église profonde).
L'archevêque Viganò a écrit sur X : "Les régurgitations d'égouts blasphématoires du pamphlet répugnant de Tucho montrent un tel niveau de perversion et d'aliénation de la Foi qu'elles exigent l'expulsion manu militari de l'Argentin et de ses complices. Les gardes suisses ont juré de défendre le Siège de Pierre, pas celui qui le démolit systématiquement. Qu'ils soient donc fidèles à leur serment et qu'ils arrêtent ces pervers hérétiques !".
La déclaration du dénonciateur du Vatican fait suite à la publication de la nouvelle selon laquelle le cardinal Fernandez, considéré comme l'auteur de la scandaleuse Fiducia Supplicans et d'au moins certaines parties du controversé Amoris Laetitia, avait publié un ouvrage de théologie sexuellement explicite en 1998. L'ouvrage, intitulé The Mystical Passion : Spiritualité et sensualité, compare les expériences mystiques aux réponses sexuelles masculines et féminines.
Je le répète : nous devons reconnaître qu'un processus révolutionnaire est en cours depuis plus d'un siècle ; un processus planifié qui s'est ensuite matérialisé avec l'action subversive des néomodernistes au Concile et avec leur prise de pouvoir tout au long de la période postconciliaire ; un processus auquel tous les papes, de Jean XXIII à Benoît XVI, ont pris une part active. Si nous sommes arrivés au culte de la Pachamama, c'est parce que nous sommes passés par Assise ; si la Déclaration d'Abu Dhabi a été signée et voulue par le Saint-Siège, c'est parce que nous avons d'abord toléré Nostra Ætate et Dignitatis Humanæ ; si nous en sommes venus à entendre théoriser les diaconesses, c'est parce que nous avons souffert en silence l'introduction des " ministres extraordinaires de l'Eucharistie " et des enfants de chœur. Et - disons-le ! - si aujourd'hui le Vatican est réduit à un bordel, c'est parce que depuis Paul VI on n'a pas voulu étouffer dans l'œuf la mafia de la lavande qui était enkystée au Vatican, préférant favoriser ceux qui, plus faciles à faire chanter, donnaient de plus grandes garanties d'obéissance.
La façon dont l'Église profonde a agi pour infiltrer l'Église catholique est une image miroir de ce que l'État profond a suivi pour prendre le contrôle des gouvernements civils, comme nous le montre l'actualité récente. L'égout d'où est sorti le pamphlet infâme du préfet de l'ancien Saint-Office est le même que celui d'où sortent les scandales des personnages mentionnés dans la liste d'Epstein. Nous avons besoin d'un retour radical au Dieu de la race humaine, à travers une purification de la société civile et du corps ecclésial. Nous devons nous opposer à cette attaque par une action collective, afin que la papauté redevienne un phare de vérité et un port de salut, et non le mégaphone de la synarchie antéchristique du Forum économique mondial.
L'archevêque Viganò a toujours été une voix puissante qui s'est opposée à François le Rouge et à l'État profond (et à l'Église profonde).
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